Economie
12/12/2023
Ce lundi 11 décembre, UCM organisait la conférence de presse de présentation de son mémorandum 2024-2029.
Un document de revendications politiques, pour que le monde politique entende les besoins des chefs d’entreprise et fasse en sorte de créer un écosystème favorable à l’entreprenariat et à l’activité économique.
Comme l’a rappelé le président Pierre-Frédéric Nyst lors de la conférence, « UCM en appelle à la mobilisation collective ». Des propos repris par le journaliste Olivier Mouton dans cet article paru dans le Trends.
Le mémorandum est le fruit du travail de tous les services d’UCM, il trouve ses racines dans le travail de lobby des conseillers du service d’études qui, chacun dans leur matière respective, porte les dossiers pour faire avancer le statut social des indépendants.
Ce document de 68 pages sera le socle de nos échanges avec le monde socio-économique et politique pour les années à venir.
Il s’articule autour de cinq grandes thématiques :
Au total, 248 mesures, rédigées par les conseillers du service d’études avec l’appui des services différents services d’UCM.
Il est impossible de détailler ici l’ensemble des mesures réclamées par UCM. Le meilleur moyen de les découvrir est de parcourir le mémorandum que vous trouverez en suivant ce lien.
UCM veut faire bouger les lignes et placer, définitivement et pleinement, les PME sur l’échiquier de l’écosystème belge. Les PME représentent 99% du tissu économique belge mais force est de constater que leurs réalités sont trop souvent négligées lors de l’élaboration des politiques publiques.
Comme l’a souligné le président Pierre-Frédéric Nyst, « La réalité des PME n’a rien à voir avec celles des grandes structures. Pour grandir et participer pleinement à l’économie de notre pays, elles doivent faire l’objet d’une attention sur mesure. L’absentéisme, dans les PME, est un véritable frein à leur croissance. Légitimer les absences sans certificat médical revient à gripper l’équilibre déjà fragilisé des PME wallonnes et bruxelloises ». Citation à laquelle Caroline Cleppert, secrétaire générale chez UCM a donné écho : « La PME de demain doit être durable et continuer sereinement son chemin vers la transition économique et environnementale. L’entrepreneur doit être accompagné dans ses démarches, correctement informé, épaulé au besoin. Plutôt que d’être sanctionnées, les PME ont besoin de soutien et d’aide, dans un environnement administratif simplifié et efficace.
Au nom des 130.000 indépendants, 30.000 entreprises et 45 fédérations professionnelles, UCM est en ordre de bataille pour les prochaines élections !
Isabelle Morgante
Pour ucmvoice.be